Le Comité
324
page-template-default,page,page-id-324,page-child,parent-pageid-222,stockholm-core-1.1,select-child-theme-ver-1.0.0,select-theme-ver-5.1.8,ajax_fade,page_not_loaded,menu-animation-underline,fs-menu-animation-underline,popup-menu-text-from-top,wpb-js-composer js-comp-ver-6.0.5,vc_responsive

Le Comité

Ouverte en janvier 2011, La Résidence [43.5] est depuis parrainée par Bernard Marcadé, Bartomeu Mari, Pascal Neveux et Bernard Plossu, en tant que consultant ils peuvent accueillir certains des résidents dans leurs institutions respectives et/ou proposer des artistes en résidence. Le Comité se réunit deux fois par an à Aix-en-Provence, Paris ou Barcelone.

MICHÈLE COHEN

Fondatrice et directrice de La Non-Maison

Historienne d’art, commissaire d’expositions, directrice culturelle,découvreuse de talent. Elle a organisé en 1990 la première exposition d’art chinois d’avant-garde en occident avec (Yan Peiming, Chen Zhen, Hou Anru, Cai Quoquang, Yang Jiechang, Wenda Gu). Cette exposition a été classée historique. Michèle Cohen cherche à construire un laboratoire de recherche interdisciplinaire et international, autour du processus de création et de la genèse de l’œuvre, elle fonde la NON- MAISON à Aix-en-Provence. Elle ouvre une résidence artistique ouverte sur le monde au sein de laquelle elle a déjà accueilli des artistes de plus de 15 pays

LAURA BERTILOTTI

Diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris (Sciences Po), de l’Ecole de Droit de Sciences Po et titulaire d’un LL.M de New York University School of Law, Laura Bertilotti est avocate aux barreaux de Paris et New York spécialisée en droit de l’art.
Après avoir exercé auprès des bureaux de New York de cabinets internationaux (Cleary Gottlieb Steen & Hamilton, Cadwalader, Wickersham & Taft et Paul Hastings LLP) en droit des affaires et financement, et en droit du marché de l’art au sein du cabinet August Debouzy et chez Christie’s à Paris, elle a fondé son cabinet en 2020 et intervient en droit des affaires et droit du marché de l’art.

BERNARD PLOSSU

Bernard Plossu, né en 1945 au Vietnam, a consacré sa vie à voyager et à photographier ce qu’il voyait. Du Mexique, dont les images sont si célèbres, en passant par l’Italie, chère à son cœur, jusqu’au Havre où il a su saisir la poésie de la ville, peu de régions du monde ont échappé à son regard à la fois cultivé et distancié. Mais le photographe français entretient des relations privilégiées avec la Méditerranée. Cet espace mouvant, à la lumière crue et aux ombres pénétrantes, a beaucoup retenu ses pas. L’Espagne a même réussi à le garder quelques années, dans une petite maison d’Andalousie encore si présente dans sa conversation et ses rêves.

Il a commencé à photographier par hasard au Mexique en 1965. Son oeuvre coïncide avec le développement de la photographie française contemporaine. Ses images sensuelles, aux vibrations immobiles et silencieuses nous parlent de la douceur des corps, de la matière, du mouvement et autres « paysages intermédiaires ». Les thèmes comme le voyage, l’espace, la famille, sont souvent abordés de manière autobiographique et l’on retrouve dans son travail une écriture intime, un langage repérable au fil des années.