« Je veux rester ici. Les incas, les aristocrates incas, possédaient un passage souterrain dans leur demeure, qui leur permettait d’accéder à un jardin secret, un jardin qui s’appelait en langue inca : Nanankepichu, ce qui veut dire La Non-Maison ».
Ces mots étaient inscrits dans le journal Le feu d’Anaïs Nin. Ils provenaient de Gonzalo Moré, un anarchiste péruvien, poète et boxeur exilé à Paris avec qui Anaïs Nin entretient une relation amoureuse en 1936.